Je ne cherche pas à être commentée, je désire simplement m'exprimer. En espérant que vous aurez le sourire aux lèvres, j'espère également ouvrir votre esprit à la réflexion sur divers sujets! Voici mes pensées et mes opinions livrées pour vous.

Thursday 1 September 2011

À la clinique et au CLSC

Actuellement, j'attends au CLSC pour qu'une aiguille soit plantée dans mon bras (ça a l'air un peu plus sadique que si j'avais écrit "prise de sang"). Je regarde autour de moi et j'aimerais bien faire une description détaillée et unique de chaque personne aux alentours, mais ce serait inutile: tout le monde se ressemble. C'est vrai! La moyenne d'âge doit être d'au moins 70 ans et tout le monde a l'air super fatigué. 

Malgré tout, l'attente est beaucoup moins longue à ce que je m'attendais et on m'a même dit que j'aurais les résultats d'ici la fin de la journée. Et en plus, grâce à la carte d'assurance maladie, c'est gratuit! À tous ceux qui se plaignent du système de santé, relisez mes 2 dernières phrases.

À la clinique, comme au CLSC:
- Ils nous demandent d'éteindre notre cellulaire ... mais tout le monde le met sur vibration (sauf ceux qui ont 80 ans ou plus qui ne savent même pas qu'un téléphone peut aussi être mobile).
- Même si tu n'avais rien, tu as une chance sur deux d'attraper un microbe quelconque une fois sorti du bâtiment.
- Tout le monde se regarde ... parce qu'il n'y a pas vraiment d'autre chose à faire à part peut-être de regarder le numéro qui défile à l'écran.
- En regardant les gens, tu essaies de déterminer quelle maladie ils ont... en essayant de ne pas trop dévisager les personnes concernées.
- Il est écrit d'être calme et de parler à voix basse ... mais quand tu passes à la réception, tu as l'impression que la réceptionniste parle TRÈS TRÈS FORT et que tout le monde entend le problème que tu as.

Si on fait le bilan: j'ai reçu un accueil chaleureux de la réceptionniste, j'ai attendu seulement 15 minutes, il restait du Purell dans la machine et il faisait beau dehors!! Wow, ça c'est de l'optimisme.

Wednesday 31 August 2011

Una cerveza por favor

Qu’elle soit consommée embouteillée ou au verre, la bière reste l’une des boissons alcoolisées les plus populaires. Elle possède divers constituants qui ne sont pas toujours excellents pour la santé, ni pour le nez. Avez-vous déjà habité proche d’une usine qui fabrique de la levure? C’est pire que de vivre à l’intérieur d’un container à déchets. Malgré ses odeurs nauséabondes lors de la fabrication, les clients restent nombreux et se font bien souvent avoir.

Une bière à l’épicerie: ~ 1$ (en paquet)
Une bière en banlieue: ~ 4$
Une bière dans un restaurant/bar/club du centre ville: ~ 8$
Une bière dans les endroits spécialisés en danse particulièrement dénudée: ~ 10$


                                                                

Et le coût de production d’une bouteille = 0,10$ …Je vous laisse maintenant calculer le profit réalisé par les grandes compagnies!

Il est hallucinant de voir que l’on a su faire accepter au consommateur de payer jusqu’à 100 fois le prix réel d’une bouteille de bière. Avec tout le profit réalisé, des campagnes marketing d’envergure permettent aux industries de continuer à vendre à un prix exhorbitant un produit superflu.

Jusqu’à combien accepteriez-vous de dépenser pour une bière?

Tuesday 30 August 2011

Un dimanche en compagnie d’Irene

À mon réveil: Oulala, il pleut vraiment fort! Ça va sûrement se calmer bientôt …
En après-midi: Toujours de la pluie … aussi forte!
En soirée: Même scénario.
Avant d’aller me coucher: Ca y’est, les égoûts vont déborder et tout le Québec sera inondé... ou pas (je suis un peu dramatique, ce n’est jamais arrivé à Montréal).



Le lendemain matin: Gros soleil ?!


Réjouissons-nous de ces quelques avantages de la pluie:
- C’est une bonne raison de rester à la maison et de se reposer
- Regarder un bon film en pyjama, sous une couverture chaude et se coller à son amoureux(se)
- Courir dehors sans avoir besoin de bouteille d’eau
- Ton voisin n’arrosera pas son stationnement...
- ...Il ne passera pas la tondeuse non plus (alléluia!)
- Tu peux éclabousser une fille avec un manteau blanc (voiture obligatoire, sinon j’espère que tu cours plus vite!).



En terminant, j’aimerais dire un merci tout spécial à toutes les industries qui contribuent aux changements climatiques; sans vous nous ne pourrions profiter des petits plaisirs de la vie que je viens d’énumérer.

Sunday 28 August 2011

Sans les centres commerciaux

Dites le. Oui, avouez le! Vous pourriez survivre avec 1/10 du contenu de votre garde robe et 1/100 si vous êtes une femme. On ne porte plus de vêtements par principe de survie, mais bien par envie. Envie de plaire, envie d'être à la mode...

Imaginons (avec beaucoup de naiveté) que demain matin, il n'y a plus aucun centre commercial. Plus aucun magasin, ni aucun moyen d'acheter des vêtements. Que faites-vous?

Quand je dis "plus aucun centre commercial", j'inclus aussi les achats sur Internet (vous pensiez pouvoir vous en tirer?)

A) Vous revenez à la bonne vieille méthode du troc
B) Puisque vous êtes exhibitionniste, vous appliquez le dicton: on se met tout nu toute la gang
C) Vous vous pincez en vous disant que tout cela n'est qu'un rêve

Regardons nos 3 scénarios de plus près:

A) Les "troc-queurs":
Avantage: vous pouvez emprunter les vêtements de vos amis afin de changer de look
Inconvénient: s'échanger des sous-vêtements ...

B) Les "exhibos" :
Avantage: 1h de moins à choisir votre linge le matin
Inconvénient: l'hiver québécois ...

C) Les "terre à terre"
Avantage: C'est plus rassurant
Inconvénient: Ayoye!! Ne vous pincez pas si fort ...

La morale de cette histoire: les centres commerciaux ne fermeront pas de toute façon.